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Toute l'école se rassemble autour de la poésie
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Par manuecolin le 30 Mars 2015 à 10:59
Poèmes écrits à partir des "contes en poésie"...
A vous de lire, à vous de dire....
La pauvre fille qui volait
En arroi de dentelle beige
Plaignez la pauvre prisonnière
Dans le gros ventre de Blanche-Neige
Sans feu, sans coussin, sans lumière…
Elle pourrait rencontrer Malbrough revenant de guerre
Qui parlerait comme une commère.
Vous m’avez conté merveille
A vouloir m’attraper
Mais je n’ai pas d’oreilles,
Et parce que je suis dans le ciel
Mais je peux vous mettre en quartiers
Vu que vous m’ignorez
GUILLAUME
La prisonnière des contes
S’il était encore une fois
Tu serais Robin des bois
Et je serais le beau fils du roi
Plaignez la pauvre prisonnière
Au fond de son cachot sans lumière
Il fallait aller chez grand-mère
Sans parler comme une commère
A Marlbrough revenant de guerre.
Il ne fallait pas s’amuser au bois joli
Avec l’inconnu trop poli.
Le soir je traversais la forêt
Pour trouver des bêtes, des fées.
Mon grand-père le poète
A adoré les galettes.
Inès
La pauvre marâtre
Ma marâtre se boursoufle
Au fond de son cachot maudit
Sans sa pantoufle
Avec l inconnu trop poli.
Plaignez la pauvre prisonnière
Beau sire, et pas vilaine
Dormant dans son cercueil de verre
Enfermée par une chaîne
Et je dirais à ces gens là
Qu’elle n avait plus qu’un bout de galette
Moi qui vois ce qu’on ne voit pas
Mieux valait ne rien dire à Perette.
Jade
Le conte mélangé
S’il était encore une fois
La très noble Isabelle
Qui se trouve très belle
Avec de la dentelle
Croise Robin des Bois
Qui la croit
Mais la pauvre prisonnière
N’a pas de lumière
Et ses demis sœurs ne sont que des commères
Voire même grossières
Tous les courtisans
Sur leurs alezans
Seront armés jusqu aux dents
Pour ma pantoufle
Qui se boursoufle
Il fallait aller chez grand-mère
Sans passer par la promenade buissonnière
Avec l’inconnu trop poli
Qui était très joli.
Lynne
Télécharger « odyssee_contes.pdf »
Le garçon qui prend tout au pied de la lettre
Son tralala, son Robin des Bois,
Il met son armure, pour partir à l’aventure,
Pour devenir un héros, comme dans les contes de Perrault.
Je vous le dis, son pot de beurre est fini,
Car il revient de guerre, traînant son cercueil de verre,
Et je dirais à celui-là, quand la télé le soir ne s’allume pas.
Mon grand-père le poète, dressait tes fées, tes bêtes,
Pendant que les grands chevaliers, étaient tout ébranlés,
A la sortie du bois, mon Dieu il me croit.
Mieux valait ne rien dire, car maintenant il va me maudire,
Je suis seule sans allumettes, sans eau, sans coussin, sans galettes,
Ah !maman me l’avait bien dit, qu’il ne fallait pas être trop poli.
Lysana
Cendrillonne
Ma marâtre se boursoufle
Dans ses robes d’or à panier
Mes demis sœurs ces maroufles
Veulent me rattraper.
Mon père dormant dans son cercueil de verre
N’a jamais eu d’oreilles
Maintenant je suis prisonnière
Comme dans un conte de merveilles.
Quand nous marchions main dans la main
Sans feu, sans coussin, sans lumière…
Cela faisait encore rêver mes copains
Mais maintenant je suis prisonnière
A la sortie du bois
J’irai trouver Blanche- Neige
Pour quelle me croie
Et nous pourrions suivre son cortège.
Mathilde
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